Loup, que fais-tu ? Je peuple tes lectures !

Pour faire écho à mes lectures thématiques enfantines autour des animaux de la forêt, lectures dans lesquelles le loup a une place de choix, j’ai eu envie de faire une petite sélection générale : le loup est une figure amplement symbolique, que l’on retrouve dans beaucoup de genres littéraires, et dans pas mal de mes lectures, finalement.

Tour d’horizon pour tous les âges !

Lectures de vacances : bilan

Je n’ai jamais si peu lu pendant des vacances. Mais qui lit peu, lit bien. De fait, j’ai pu savourer vraiment mes lectures, entrecoupées de sorties à la plage, de jeux en famille, d’activités manuelles … et de siestes (BEAUCOUP de siestes).

Cet été, j’avais emporté dans mes valises (ou posé sur ma table de chevet) des lectures en attente depuis longtemps (hein, Le prieuré, on en parle ??), des livres récemment reçus en cadeau, des choix aléatoires en bibliothèque, des relectures.

Bilan du premier tiers de l’année 2021

Vu mon retard concernant le bilan de mes lectures sur ce blog, j’invente une nouvelle tranche temporelle : encore mieux que le trimestre, le tiers d’année ! Je ne pourrai pas passer en détails sur tous les titres lus depuis début janvier (n’hésitez pas à visiter mon compte Instagram pour avoir une vue plus imagée !), mais je vais tenter un panorama quand même.

(Mode d’emploi : tous les titres mentionnés ci-dessous ont été lus ou au moins commencés. Plus il y a de cœurs, plus j’ai aimé ! S’il n’y en a aucun, c’est que je n’ai pas été convaincue. Les ajouts de ^1/2, de ! et de ? me permettent de nuancer ma position ; notamment, ♥? signifie que je n’ai pas détesté, mais que la lecture m’a tout de même laissée perplexe, ou laissée sur ma faim.)

« En quête d’un grand peut-être » : les incontournables romans ados de Tom, Nathan… et moi

J’ai publié récemment sur Instagram à propos du « guide de la littérature ado » des deux blogueurs Tom et Nathan Lévêque, de son vrai titre En quête d’un grand peut-être. Je spoile l’explication de ce titre, car c’est vrai qu’il intrigue : c’est une réplique de Miles, personnage principal du roman de John Green, Qui es-tu Alaska ?

Après lecture de ce guide passionnant, des tonnes de réflexion me sont venues à l’esprit. D’abord, bien sûr, que la littérature ado c’est trop génial, qu’on est en plein dans une ère nouvelle bourrée de trésors pour la jeunesse, et que je suis ravie d’avoir des élèves et une fille et de savoir que je pourrai leur faire découvrir tous ces trésors. Ensuite, que c’est toujours agréable de se replonger avec nostalgie dans les œuvres qui ont bercé notre jeunesse. Mais, en fait… ma jeunesse, vraiment ?

Un masque et une plume : journal d’une enseignante, épisode 5

Je suis en retard ! Début d’année, souvent une période difficile : on sort des fêtes de Noël (bon, même si elles n’ont pas été tellement festives cette année), il faut se remettre en selle ; de plus, en zone A, notre première période est passée à toute allure (cinq semaines seulement entre les deux vacances). Bref, la petite Mu a énormément de choses à vous raconter !

La rue qui les unit : trois romans à propos d’un-e sans-abri

Dans mon avant-dernier article, je faisais l’éloge de Marie-Sabine Roger, notamment de son roman jeunesse, lu dans ma jeunesse justement : Attention fragiles. Réactions en chaîne comme j’aime les vivre dans ma vie de lectrice : j’ai découvert l’avant-dernier roman de cette autrice, Les bracassées, en cherchant des idées de livre à offrir. Il m’a donné envie de lire son dernier, Loin-Confins, puis de relire Attention fragiles. Et pile à ce moment-là, Audrey de @lesouffledesmots vantait les mérites d’une toute nouvelle parution, La rue qui nous sépare, qui, par son thème, faisait écho au roman de Marie-Sabine Roger. J’ai donc lu cette première œuvre de Célia Samba ; et puis, parce qu’on ne lit jamais trop, j’ai ressorti un autre roman que je n’avais encore jamais lu en entier, No et moi. D’une autrice, Delphine de Vigan, qui a également écrit sur la folie maternelle dans Rien ne s’oppose à la nuit, thème qui rejoint celui de Loin-Confins ! La boucle est bouclée.

Marie-Sabine Roger et romans associés

Ces derniers temps, vous avez entendu parler de Marie Sabine Roger chez @lapetitemuquiplume. Pour celleux qui auraient raté cela, retour sur une autrice qui n’a pas peur des mots : ni les beaux, ni les durs, ni les vrais, ni les faux.

Un masque et une plume : journal d’une enseignante, épisode 4

Vous l’avez attendu, tant et plus, le voici : l’épisode 4 de votre feuilleton préféré !!!

Lectures de novembre et décembre : lectures au long cours, puis boulimie de retour

En novembre, j’ai peu lu. D’abord parce que j’avais moultes autres choses à faire – un NaNoWriMo, une commercialisation de livres (cliquez ici si vous voulez en entendre parler de nouveau, mais, autant vous le dire tout de suite, les stocks des Pile de Pandas sont épuisés !), un retour au collège et tout ce qui s’ensuit, et j’en passe. Mais aussi parce que je me suis lancée dans des lectures longues, qui m’ont occupée un certain temps chacune (de mémoire, seulement deux gros romans, le dernier de Salma Rushdie et le dernier de Philip Pullman).

Puis, en décembre, c’est la machine, non la chenille, qui redémarre : pour retrouver un nouveau souffle, j’ai choisi des lectures plus courtes, et je les ai dévorées, enchaînées, avalées. Je me suis goinfrée, autant que possible en tout cas.

Malheureusement, j’ai oublié de noter tous les titres sur un carnet, comme je le fais habituellement, alors je ne suis pas sûre que la liste ci-dessous sera exhaustive. Si d’autres titres me reviennent par la suite, je les ajouterai.

(Mode d’emploi : tous les titres mentionnés ci-dessous ont été lus ou au moins commencés. Plus il y a de cœurs, plus j’ai aimé ! S’il n’y en a aucun, c’est que je n’ai pas été convaincue. Les ajouts de ^1/2, de ! et de ? me permettent de nuancer ma position ; notamment, ♥? signifie que je n’ai pas détesté, mais que la lecture m’a tout de même laissée perplexe, ou laissée sur ma faim.)

Un masque et une plume : journal d’une enseignante, épisode 3

Et revoici, non pas la sous-préfète, mais la professeure de collège qui parle d’elle à la troisième personne, prend en photo son masque DIM (non, plus celui-ci, il est toxique) et son flacon de SHA comme si c’étaient les objets les plus passionnants du monde, et qui cherche à vous faire croire que prof, oui, c’est vraiment le plus beau métier du monde.